Qui veut bon navet le sème en juillet.
[Dicton berrichon]
Je crois à l’immortalité et pourtant je crains bien de mourir avant de la connaître.
[Raymond Devos]
Le champagne aide à l'émerveillement.
[George Sand]
Le progrès n’arrête pas de nous étonner, il suffit d’ouvrir une fenêtre sur notre ordinateur pour savoir le temps qu’il fait dehors.
[Yves Lande]
À la sainte Madeleine (22 juillet) la noix est pleine. À la saint Laurent (10 août) on regarde dedans.
[Dicton berrichon]
Ce n’est pas une retraite, c’est une progression vers l’arrière pour raisons stratégiques.
[Ferdinand Lop]
Le droit de vivre ne se mendie pas, il se prend.
[Marius Jacob]
Si tu regardes un feu de cheminée plusieurs heures, il s’éteint.
[Brève de comptoir]
Avant, il y avait la tomate. Puis, ils ont fabriqué la tomate de merde. Et au lieu d’appeler la tomate de merde “tomate de merde”, ils l’ont appelée “tomate”, tandis que la tomate, celle qui avait un goût de tomate et qui était cultivée en tant que telle, est devenue “tomate bio”. À partir de là, c’était foutu.
[Gaspard Demarchet]
Le cheval n’a pas besoin de tirer ce que l’âne porte.
[Proverbe berrichon]
Se méfier des gens qui promettent des millions et dont il faut régler les consommations.
[Léon Bloy]
La chaleur dilate les corps. C'est pourquoi les jours sont plus longs en été qu'en hiver.
[Léo Campion]
L’esprit fait la main, la main fait l’esprit.
[Henri Focillon]
Les chiens regardent les évêques, mais la réciproque est rare.
[Maxime Vivas]
La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire.
[Voltaire]
L’habitude est une chemise de fer.
[Proverbe berrichon]
Sans curiosité on meurt et sans courage on ne vit pas.
[Hugo Pratt]
Le capitaine d'un bâtiment de la Royale Navy s'adresse à Surcouf : “Vous, Français, vous vous battez pour l'argent, tandis que nous, Anglais, nous nous battons pour l'honneur !” Et Surcouf réplique : “Chacun se bat pour ce qui lui manque !”
L’amour n’a point d’âge : il est toujours naissant.
[Blaise Pascal]
La première épouse crée le logis, la deuxième s’y installe.
[Proverbe berrichon]
Peu importe que l’argent ne vaille plus rien, quand vous avez déjà tout acheté.
[Gaspard Demarchet]
Ce qui me plaît en vous, ce sont mes souvenirs.
[Alain Fournier]
Frigidité : sexe aphone.
[Léo Campion]
Le triomphe de l’adversaire est de vous faire croire ce qu’il dit de vous.
[Paul Valéry]
Celui qui a bon coeur n'est jamais sot.
[George Sand]
Je voudrais mourir, par curiosité.
[George Sand]
J’ai vu l’avenir …et j’y vais pas !
[Robert Hichond]
Tant de libertés pour si peu de bonheur…
[Michel Berger]
Je suis de la couleur de ceux qu’on persécute !
[Alphonse de Lamartine]
L’État est le plus froid des monstre froids. Il ment froidement; et voici le mensonge qui sort de sa bouche : “Moi l’État, je suis le peuple”.
[Frédéric Nietzsche]
Dis-moi et j’oublierai. Montre moi et je me souviendrai. Implique moi et je comprendrai.
[Proverbe amérindien]
Si sur internet certains publient des mensonges, c’est aussi le seul endroit qui rétablit certaines vérités. Ce fourre-tout conserve quelque chose d’essentiel : la liberté et l’indépendance.
[Oscar de Tours]
Donne un cheval à l’homme qui a dit la vérité, il en aura besoin pour s’enfuir.
[Proverbe arabe]
Un exemple n’est pas nécessairement un exemple à suivre.
[Albert Camus]
Rhume : tempête sous narine.
[Léo Campion]
Malheur à qui gèle au travail et sue à table.
[Proverbe berrichon]
Un cœur noble ne peut soupçonner en autrui la bassesse et la malice qu'il ne sent point en lui.
[Jean Racine]